VALÉRIE MONSEUR
Nutrithérapeute | Pharmacien
MON APPROCHE
MON OBJECTIF:
Des résultats concrets sur votre santé, quantifiables selon vos signes cliniques et les résultats des analyses.
LE POINT DE DÉPART:
Restaurer votre énergie.
L’organisme ne peut pas fonctionner, se réparer, se développer, se défendre,… sans énergie. Il est donc primordial de rallumer le moteur et de libérer l'énergie fournie par les molécules d’ATP (adénosine triphosphate) dans chaque cellule.
C’est ma priorité lors de notre première consultation.
C'est l'impulsion nécessaire pour relancer les fonctions physiologiques. Par ailleurs, vous en ressentirez très vite les effets sur votre niveau d’énergie et donc sur votre bien-être.
UNE PRISE EN CHARGE PERSONNALISÉE
Selon l'analyse de vos faiblesses organiques, de votre profil métabolique, de vos habitudes alimentaires, de vos analyses sanguines, de votre hygiène de vie et de votre environnement.
Il n’y a pas de régime spécifique pour une pathologie particulière, mais une alimentation idéale existe pour chaque personne, à chaque moment de sa vie.
DES CHANGEMENTS RÉALISTES
Qui vont s’intégrer à votre rythme, dans vos habitudes, en tenant compte de vos goûts, de votre rapport à la nourriture, de votre façon de fonctionner et de votre rythme de vie.
Cette approche progressive et à l’écoute de vos besoins permet des changements sur le long terme.
MA VISION D'UNE ALIMENTATION "SAINE":
Des aliments "vrais", authentiques, naturels (sans produits chimiques), de saison et locaux, peu transformés, préparés à la maison, à l’ancienne et consommés dans de justes proportions.
Comme l'explique si bien Taty Lauwers, ce ne sont pas les aliments eux-mêmes qui peuvent être nocifs pour la santé mais bien leur excès de consommation ou de transformation. Aucun aliment « vrai » ne devrait être interdit.
MA RÉPONSE À L’ÉTERNELLE QUESTION "TEL ALIMENT EST IL BON OU NOCIF POUR LA SANTÉ?":
Il n'est pas possible de répondre simplement par oui ou par non à cette question à priori si simple...
Pour prendre l’exemple très controversé des produits laitiers, faisant l'objet d'énormément d’études, il est important de savoir lire ces études dans le détail avec un regard scientifique et de remettre les conclusions dans leur contexte. Quelle est la qualité et le degré de transformation des produits consommés? En quelle quantité sont-ils consommés? Et par qui? Parle-t-on de produits simples à base de lait cru biologique, provenant d’animaux ayant été nourris à l’herbe et consommés en petite quantité 1 à 2 fois par semaine ? Ou bien parle-t-on de ces laits UHT, et de tous leurs dérivés ultra-transformés (poudres de lait,…) cachés dans la majorité des produits laitiers « classiques » et consommés en grande quantité plusieurs fois par jour ?
MON AVIS SUR LES DIFFÉRENTS «RÉGIMES » : végétarien, paléo, low-carb/high-fat, alimentation vivante, sans gluten et sans produits laitiers, jeune intermittent, Seignalet, Failsafe,...
Il n’y a pas d'approche meilleure qu’une autre, mais il y a beaucoup de méthodes mal ciblées ne prenant pas en compte les besoins spécifiques de la personne ou utilisées de façon trop extrême.
Identifier votre profil profond est donc essentiel afin de pouvoir définir votre plan alimentaire personnel. Mais aussi, considérer vos faiblesses organiques du moment déterminera si vous pourriez bénéficier d’un régime spécifique, bien ciblé et de courte durée.
POURQUOI LES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES ?
Bien sûr, une alimentation saine et nutritionnellement dense est essentielle pour se maintenir en bonne santé.
Mais quand l’alimentation, le mode de vie et l’environnement sont sources de déséquilibres depuis trop longtemps, le simple retour à une bonne hygiène de vie peut ne pas être pas suffisant pour retrouver la santé rapidement. La correction des déficits ou des surcharges nutritionnelles via les compléments alimentaires peut donc aider pour rattraper le passif accumulé depuis de nombreuses années.
Les compléments alimentaires ne se justifient que si les apports nutritionnels optimaux ne peuvent pas se faire par l’alimentation, si les besoins sont augmentés (croissance, grossesse, sport,...), si une dose correctrice de déficit ou pharmacologique est nécessaire ou si la pharmacologie nécessite une prise séparée de l’alimentation (ex : acides aminés précurseurs de neurotransmetteurs)
UNE APPROCHE POSITIVE
Et non restrictive, qui tente de réintroduire ce que vous ne mangez pas assez et non de se concentrer sur ce que vous consommez en excès.
Les privations sont contre-productives, la notion de plaisir est primordiale dans la conception des repas.
« Le meilleur des repas, c’est celui que l’on partage entre amis »
- Henri-Frédéric Amiel -
(Fragments d’un journal intime)